Ranini: Vous êtes au début de votre vie d'avocat et diplômé du lycée italien et de la faculté de droit. Et en tant que jeune avocat, vous vouliez prendre des cours de théâtre ... Le rôle de l'avocat pendant le processus judiciaire dans le système judiciaire turc est clair. Puisque vous n'aurez jamais la chance de faire un discours de clôture emblématique, en regardant en arrière aujourd'hui, pensez-vous que c'est la direction de votre subconscient qui vous a fait penser que jouer est ce que vous voulez réellement faire et qu'est-ce qui vous rendrait heureux?
Can: Je n'ai pas trop réfléchi, pour être honnête. À l'époque, travailler comme avocat aux États-Unis ou en Italie faisait également partie de mes alternatives. Comme Cem Yılmaz l'a dit dans son émission, n'étudiez pas le droit en regardant des films américains; C'est un plaignant élégant. Ici, la pratique est assez différente de la théorie et cela ne m'a pas déçu… C'était une époque où j'étais confuse, comme tout jeune, où tu venais de découvrir toi-même et ton potentiel ... En conséquence, j'ai dit que la vie vienne tel quel.
Ranini: Votre première série était Gönül İşleri . C'était une histoire douce. Puis vint Inadina Aşk et Can Yaman sont entrés dans le radar des gens avec cette série. Il a duré 32 épisodes et vous a porté dans la catégorie «jeune acteur». Pendant cette période, quels étaient vos espoirs ou votre désespoir concernant la profession que vous préfériez à celle d'avocat?
Can: J'ai un cabinet d'avocats actif dirigé par deux de mes associés. Même si je ne suis pas très impliqué dans la pratique du droit, j'essaie de ne pas m'en éloigner et je continue à soutenir le bureau à l'extérieur. Je n'ai pas de structure qui inclut des sentiments négatifs tels que le désespoir et le pessimisme. Je me vois un peu talismanique. Je crois que je n'arriverai pas à une mauvaise fin. Je dis toujours que si quelque chose ne se passe pas, une autre chose encore mieux se produira ...
Ranini: Votre parcours a une discipline sportive. Quels avantages ou inconvénients cela crée-t-il pour des conditions de pose longues et difficiles?
Can: Cela présente de nombreux avantages. Un dizi est un marathon et agir nécessite de la force mentale, spirituelle et physique. Vous devez vivre une vie disciplinée. Le sport vous aide aussi à avoir cette discipline. C'est un métier qui demande beaucoup d'efforts et d'énergie. Il existe des conditions difficiles comme la chaleur, le froid, l'insomnie, les scènes qui nécessitent une performance physique élevée, etc. Avoir une formation sportive rend votre travail beaucoup plus facile. Avoir étudié le droit et les langues étrangères facilite également mon travail en termes d'avoir un certain état mental sur des sujets tels que la mémorisation, la concentration, la concentration et la perception.
Ranini: Vous n'êtes pas un acteur qui est souvent un sujet médiatique en dehors de son travail. Comment nourrir l'acteur Can Yaman quand on ne travaille pas?
Can: Tout le monde ne doit pas tout savoir. Je ne préfère pas être sur tabloïd. Je pense qu'il faut travailler dur pour mériter de s'amuser. Si je ne travaille pas, je m'amuse, je me détends, je me laisse aller, je renouvelle mon énergie. J'adore avoir de belles conversations, rire et discuter avec mes amis et ma famille. Je suis un observateur. C'est comme ça que je me nourris. Je fais déjà des choses que tout le monde fait, comme regarder des films, lire des livres, écouter de la musique. Je pense que je n'ai même pas besoin de le mentionner (rires).
Can: Je n'ai pas trop réfléchi, pour être honnête. À l'époque, travailler comme avocat aux États-Unis ou en Italie faisait également partie de mes alternatives. Comme Cem Yılmaz l'a dit dans son émission, n'étudiez pas le droit en regardant des films américains; C'est un plaignant élégant. Ici, la pratique est assez différente de la théorie et cela ne m'a pas déçu… C'était une époque où j'étais confuse, comme tout jeune, où tu venais de découvrir toi-même et ton potentiel ... En conséquence, j'ai dit que la vie vienne tel quel.
Ranini: Votre première série était Gönül İşleri . C'était une histoire douce. Puis vint Inadina Aşk et Can Yaman sont entrés dans le radar des gens avec cette série. Il a duré 32 épisodes et vous a porté dans la catégorie «jeune acteur». Pendant cette période, quels étaient vos espoirs ou votre désespoir concernant la profession que vous préfériez à celle d'avocat?
Can: J'ai un cabinet d'avocats actif dirigé par deux de mes associés. Même si je ne suis pas très impliqué dans la pratique du droit, j'essaie de ne pas m'en éloigner et je continue à soutenir le bureau à l'extérieur. Je n'ai pas de structure qui inclut des sentiments négatifs tels que le désespoir et le pessimisme. Je me vois un peu talismanique. Je crois que je n'arriverai pas à une mauvaise fin. Je dis toujours que si quelque chose ne se passe pas, une autre chose encore mieux se produira ...
Ranini: Votre parcours a une discipline sportive. Quels avantages ou inconvénients cela crée-t-il pour des conditions de pose longues et difficiles?
Can: Cela présente de nombreux avantages. Un dizi est un marathon et agir nécessite de la force mentale, spirituelle et physique. Vous devez vivre une vie disciplinée. Le sport vous aide aussi à avoir cette discipline. C'est un métier qui demande beaucoup d'efforts et d'énergie. Il existe des conditions difficiles comme la chaleur, le froid, l'insomnie, les scènes qui nécessitent une performance physique élevée, etc. Avoir une formation sportive rend votre travail beaucoup plus facile. Avoir étudié le droit et les langues étrangères facilite également mon travail en termes d'avoir un certain état mental sur des sujets tels que la mémorisation, la concentration, la concentration et la perception.
Ranini: Vous n'êtes pas un acteur qui est souvent un sujet médiatique en dehors de son travail. Comment nourrir l'acteur Can Yaman quand on ne travaille pas?
Can: Tout le monde ne doit pas tout savoir. Je ne préfère pas être sur tabloïd. Je pense qu'il faut travailler dur pour mériter de s'amuser. Si je ne travaille pas, je m'amuse, je me détends, je me laisse aller, je renouvelle mon énergie. J'adore avoir de belles conversations, rire et discuter avec mes amis et ma famille. Je suis un observateur. C'est comme ça que je me nourris. Je fais déjà des choses que tout le monde fait, comme regarder des films, lire des livres, écouter de la musique. Je pense que je n'ai même pas besoin de le mentionner (rires).
Ranini: Vous avez dit dans une interview que Fight Club est l'un de vos films préférés. Edwart Norton ou Brad Pitt? Pourquoi?
Can : Les deux sont des acteurs très précieux, mais Brad Pitt est très différent ... Je regarde chaque film de Brad Pitt avec admiration et je l'aime beaucoup. J'aime beaucoup la performance d'Edward Norton dans l'histoire américaine. Il était avocat dans The People vs. Larry Flint, où il a prononcé un discours emblématique devant la Cour suprême, comme vous l'avez mentionné dans votre première question. C'était une scène incroyable que vous regarderiez vraiment avec admiration, c'est très inspirant, surtout si vous êtes avocat ou que vous voulez en être un. Mais bien que Fight Club soit un très bon film avec une bonne direction, Brad Pitt a pris le film dans une dimension très différente à mon avis. Je pense que ça n'aurait probablement pas été aussi populaire s'il n'y avait pas joué.
Ranini: Si vous pouviez jouer dans un film en Turquie. Qui devrait l'écrire et le diriger?
Can : Il y a beaucoup de noms avec lesquels je souhaite travailler dans mon pays et à l'étranger bien sûr, mais à part ça, les meilleurs films des meilleurs réalisateurs du monde ont souvent été leurs premiers films. C'est peut-être parce qu'ils travaillent de manière très désintéressée, très prudente, avec beaucoup d'enthousiasme pour proposer quelque chose de très précieux au début de leur profession. Je peux aussi jouer dans le premier film de quelqu'un.
Ranini: Au fait, y aurait-il un film?
Can : Il n'est techniquement pas possible de faire un film tout en tournant simultanément une série, où vous travaillez 6 jours par semaine et devez maintenir une certaine image comme les cheveux et la barbe. J'ai reçu une offre d'un film coproduit par Bollywood et l'Iran où je jouerais en anglais et le film sortirait dans 50 pays et 40000 écrans, mais les lieux n'ont pas encore été ajustés pour diverses raisons et il a été retardé pour l'hiver. Mais en ce moment ma série se poursuit, nous verrons ce qui se passera dans les prochains jours.
Can : Les deux sont des acteurs très précieux, mais Brad Pitt est très différent ... Je regarde chaque film de Brad Pitt avec admiration et je l'aime beaucoup. J'aime beaucoup la performance d'Edward Norton dans l'histoire américaine. Il était avocat dans The People vs. Larry Flint, où il a prononcé un discours emblématique devant la Cour suprême, comme vous l'avez mentionné dans votre première question. C'était une scène incroyable que vous regarderiez vraiment avec admiration, c'est très inspirant, surtout si vous êtes avocat ou que vous voulez en être un. Mais bien que Fight Club soit un très bon film avec une bonne direction, Brad Pitt a pris le film dans une dimension très différente à mon avis. Je pense que ça n'aurait probablement pas été aussi populaire s'il n'y avait pas joué.
Ranini: Si vous pouviez jouer dans un film en Turquie. Qui devrait l'écrire et le diriger?
Can : Il y a beaucoup de noms avec lesquels je souhaite travailler dans mon pays et à l'étranger bien sûr, mais à part ça, les meilleurs films des meilleurs réalisateurs du monde ont souvent été leurs premiers films. C'est peut-être parce qu'ils travaillent de manière très désintéressée, très prudente, avec beaucoup d'enthousiasme pour proposer quelque chose de très précieux au début de leur profession. Je peux aussi jouer dans le premier film de quelqu'un.
Ranini: Au fait, y aurait-il un film?
Can : Il n'est techniquement pas possible de faire un film tout en tournant simultanément une série, où vous travaillez 6 jours par semaine et devez maintenir une certaine image comme les cheveux et la barbe. J'ai reçu une offre d'un film coproduit par Bollywood et l'Iran où je jouerais en anglais et le film sortirait dans 50 pays et 40000 écrans, mais les lieux n'ont pas encore été ajustés pour diverses raisons et il a été retardé pour l'hiver. Mais en ce moment ma série se poursuit, nous verrons ce qui se passera dans les prochains jours.
Ranini: Si je vous donne un stylo et du papier maintenant et que je vous demande d'écrire une lettre à Can Yaman dans 10 ans, quel serait votre premier conseil?
Can : J'aurais peut-être donné un conseil à Can Yaman il y a 10 ans si j'avais mon esprit actuel, mais il m'est difficile de donner un conseil à Can Yaman dans 10 ans. Il serait honteux de donner des conseils à nos aînés (rires). D'ailleurs, je vois maintenant que tout ce que j'ai fait il y a 10 ans était juste. Je pense que je suis sur une bonne voie. Je ne peux que me dire: "Continuez ainsi, mon cher Can". Je ne pense pas que faire des erreurs soit un problème tant que nous en apprenons.
Ranini: Avez-vous des lignes rouges dans le jeu?
Can : Je n'ai pas vraiment de lignes rouges mais notre pays, rtük, chaînes et public en ont. Par conséquent, nous devons réduire notre action et ce que nous pouvons faire.
Ranini: Avez-vous des lignes rouges sur le plateau?
Can : J'ai des chaussettes à rayures rouges que ma styliste a achetées sur le plateau ... Blagues à part, la paix et la grande énergie sur le plateau sont très importantes pour moi. Après tout, nous sommes ensemble pendant 15 à 16 heures par jour, nous devenons comme une famille. Il peut y avoir des désaccords ou des moments tendus mais il est très important pour chacun d'avoir un peu de paix, d'avoir un visage souriant et de travailler avec beaucoup d'énergie et avec plaisir. Demet pense aussi comme ça. Quand quelqu'un est déprimé, elle va vers lui et le soulève immédiatement. En ce sens, Demet et moi sommes sur la même longueur d'onde. Cette équipe est la même que celle de mon travail précédent, Dolunay , donc nous sommes devenus comme une famille. Il est important pour moi que les gens aient beaucoup d'énergie et que tout le monde travaille tout en l'appréciant. Le succès d' Erkenci Kuşvient un peu d'ici aussi. Nous avons une très bonne synergie entre nous. Je ne sais pas si c'est une ligne rouge ou une ligne verte, mais je revendique le travail dans lequel je suis beaucoup.
Can : J'aurais peut-être donné un conseil à Can Yaman il y a 10 ans si j'avais mon esprit actuel, mais il m'est difficile de donner un conseil à Can Yaman dans 10 ans. Il serait honteux de donner des conseils à nos aînés (rires). D'ailleurs, je vois maintenant que tout ce que j'ai fait il y a 10 ans était juste. Je pense que je suis sur une bonne voie. Je ne peux que me dire: "Continuez ainsi, mon cher Can". Je ne pense pas que faire des erreurs soit un problème tant que nous en apprenons.
Ranini: Avez-vous des lignes rouges dans le jeu?
Can : Je n'ai pas vraiment de lignes rouges mais notre pays, rtük, chaînes et public en ont. Par conséquent, nous devons réduire notre action et ce que nous pouvons faire.
Ranini: Avez-vous des lignes rouges sur le plateau?
Can : J'ai des chaussettes à rayures rouges que ma styliste a achetées sur le plateau ... Blagues à part, la paix et la grande énergie sur le plateau sont très importantes pour moi. Après tout, nous sommes ensemble pendant 15 à 16 heures par jour, nous devenons comme une famille. Il peut y avoir des désaccords ou des moments tendus mais il est très important pour chacun d'avoir un peu de paix, d'avoir un visage souriant et de travailler avec beaucoup d'énergie et avec plaisir. Demet pense aussi comme ça. Quand quelqu'un est déprimé, elle va vers lui et le soulève immédiatement. En ce sens, Demet et moi sommes sur la même longueur d'onde. Cette équipe est la même que celle de mon travail précédent, Dolunay , donc nous sommes devenus comme une famille. Il est important pour moi que les gens aient beaucoup d'énergie et que tout le monde travaille tout en l'appréciant. Le succès d' Erkenci Kuşvient un peu d'ici aussi. Nous avons une très bonne synergie entre nous. Je ne sais pas si c'est une ligne rouge ou une ligne verte, mais je revendique le travail dans lequel je suis beaucoup.
Ranini: Allons à Erkenci Kuş . Vous êtes dans le projet le mieux noté de l'été. Comment vous sentez-vous?
CY: C'est une sensation merveilleuse. Nous sommes fiers. Nous sommes heureux. Toute notre fatigue est devenue douce.
Ranini: Vous attendiez-vous à ce succès? Je veux dire, quand vous avez lu le script, avez-vous dit "ça va coller"?
Can : J'ai dit que nous ferions en sorte que ça colle. Je m'attendais à ce que ce succès se produise si rien ne va pas.
Ranini: Quel genre de personnage est Can?
Can : Il y a une phrase qui décrit la philosophie de vie de Can Divit et qu'il considère comme une règle à part entière: "Ne faites pas une vie que vous ne pouvez pas quitter en 30 minutes". Avec cette devise, il s'est éloigné à l'âge de 23 ans, a passé sa vie à tourner des histoires humaines à travers le monde et s'est éloigné de sa famille… Il adore son travail. Il voyage sans arrêt et vit une vie qu'un homme ordinaire ne peut pas vivre. Par exemple, il a vécu dans la forêt tropicale pendant 2 mois, dormi dans des huttes pour photographier les plantations de café en Colombie, la guerre dans les ruelles de Hong Kong, il a eu des périodes où il était toujours en danger, mangeait des choses étranges et n'avait pas un bain pendant des mois. Can Divit est le contraire de la vie de plaza hybride ici… En dehors de son gilet cargo et de son appareil photo, il n'a aucune conscience matérielle ni ambition sociale. Selon lui, «la vie coule ailleurs». Sa seule obsession dans la vie est l'injustice dans le monde… Il ne peut pas respirer la futilité de la vie en ville. Il ne peut rester longtemps nulle part. Il a toujours besoin d'être en mouvement et de ne jamais s'installer ... Il a l'impression qu'il mourrait à l'intérieur et perdrait son âme s'il s'y installait. Sa vie amoureuse a été façonnée comme une extension de cela. Il ne fait de promesses à long terme à aucune femme. Il respecte les femmes et depuis le début il n'a pas l'intention de refléter sa situation différemment et de les induire en erreur.
Ranini: Vous avez considérablement changé votre apparence en créant la partie visuelle du personnage de Can. Qui a dirigé ce changement?
Can : Bien sûr que je l'ai fait, mais j'ai travaillé avec une équipe énorme et j'ai obtenu le soutien de personnes en qui j'ai confiance. Il y avait mes managers, mon styliste, mon coach sportif, mon tatoueur, ma coiffeuse, ma mère, mon père, mes amis, mon directeur et ainsi de suite qui m'ont aidé. Je les remercie tous beaucoup. Je suis content de les avoir.
Ranini: Can Yaman ressemble à un homme qui aime s'habiller simplement. Vous êtes-vous habitué à ce Can, qui se promène avec de nombreux accessoires comme une icône de la mode?
Can : Pour jouer, il faut s'habituer à différents rôles et images. Notre travail est de changer et de s'y habituer. Porter des identités différentes et les ressentir. Je me suis présenté pour un tel changement et une telle image. Les accessoires, les cheveux, la barbe, le tatouage étaient toutes mes idées. J'ai convaincu mon équipe et mon directeur et nous avons commencé à y travailler en conséquence. Personne ne m'a forcé. J'ai toujours pris soin de proposer aux spectateurs une image différente pour tous mes rôles. En ce sens, j'ai toujours refusé de prendre la solution de facilité et de me répéter.
Ranini: Que diriez-vous en premier si vous deviez prendre Can devant vous et donner un conseil à Sanem?
Can : Je lui dirais: «Contrôlez vos émotions, nous avons encore de nombreux épisodes devant nous». (des rires)
Ranini: Eh bien, si Can pouvait donner un indice à Sanem, quel serait-il?
Can : Ce serait: "Regarde son tatouage, son collier, sa bague, son âme et son inquiétude… Tu trouveras ton Albatros"
Ranini: Vous êtes devenu une belle paire d'écran avec Demet Özdemir . Votre énergie est très élevée. Quel genre de co-star est Demet?
Can : Demet est une personne merveilleuse, un excellent partenaire. C'est une actrice qui a beaucoup d'énergie et qui ajoute beaucoup à la scène. C'est un jeu d'équipe et avec Demet on ajoute beaucoup d'improvisation qui n'est pas écrite dans la scène. Notre directeur essaie d'obtenir la plus grande efficacité de notre part, nous fait confiance et nous libère avec les bonnes interventions. J'ai la chance de jouer avec Demet. Avec un partenaire incompatible, vos performances diminuent et vous jouerez mal aussi.
Ranini: Enfin, la série reçoit maintenant des cotes élevées, mais lorsque la saison commencera, le public hivernal passera à leurs écrans. Quelle est la promesse d' Erkenci Kuş au public d'hiver? Pourquoi devrions-nous continuer à vous surveiller?
Can : Je ne crois pas qu'il y ait une distinction entre un public d'été et un public d'hiver. Ce sont les mêmes ménages, les mêmes appareils de classification, les mêmes personnes. Il n'y a pas non plus de série d'été. Il y a des séries qui commencent l'été et continuent la saison ou non. Il y a des séries qui collent ou non. Il y a des projets qui commencent en hiver qui créent la déception et sont annulés en 3 à 5 épisodes, ainsi que des projets qui commencent en été et durent aussi 65 épisodes. Dieu merci, à ce jour, je n'ai jamais eu un travail qui n'ait pas bien fonctionné. Sous la nouvelle conjoncture, chaque mois une nouvelle série peut commencer. Vous pouvez continuer à regarder tant que vous l'appréciez, sinon, il existe de nombreuses autres alternatives (rires). Quant à Erkenci Kuş, Je peux vous promettre les meilleures performances, visuels, rires, haute énergie qui peuvent être interprétés dans un genre de comédie romantique. Je trouve aussi absurde d'appeler des clichés de séries comiques romantiques. Les commentaires faits à ce sujet sont en fait le cliché principal. Il y a toujours une épée dans un film de guerre, il y a encore du sang, il y a encore une guerre ... Mais comment se fait-il que nous ne disions pas cela à leur sujet ou comment nous ne disons pas que les films spatiaux sont tous pareils aussi. L'histoire d'une comédie romantique est évidente, l'interprétation et les performances sont différentes. C'est là que réside le secret de notre travail. C'est comme si vous n'écoutiez pas une chanson quand quelqu'un la chante mais que vous l'aimeriez tellement quand quelqu'un d'autre l'aimerait.
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